Numéro 42 – Juin 2020

Souvent, c’est quand on nous enlève quelque chose que l’on se rend compte de la place qu’elle prenait dans nos vies. Et depuis que le basket est devenu pratique interdite, le manque se fait ressentir. Chez les joueurs, les joueuses, les entraîneurs. Mais aussi chez les fans. Chez nous, chez vous. D’où vient le manque, comment se comble-t-il ? La rédaction a tenté de répondre à ces questions dans un dossier : comment la passion basket continue de s’exprimer. 

La question : et si le basket français sortait meilleur de la crise ? Avec des budgets en baisse, certes, mais bien des promesses pour l’avenir : les JFL au centre du jeu, de la place pour les jeunes, de la stabilité avec des contrats longue durée, des étrangers scoutés proprement.

Mega Basket : depuis 2014, dix joueurs de ce petit club serbe ont été draftés ! Un record, hors NCAA. Quelle est la recette ?

Moi, je : Louis Labeyrie. «J’en ai fait des conneries, mais je me suis bien fendu la gueule !»

Rétro : Limoges 2000, l’incroyable triplé. Pour fêter les vingt ans, un livre de 304 pages va être publié aux éditions Entorse. Les auteurs, François Chevalier et Jérémy Le Bescont, racontent les coulisses de l’ouvrage et de cette saison qui a largement dépassé le cadre du basket. En bonus, les meilleures feuilles du livres : «Bonnes vacances ! La trilogie du CSP 2000».